Le professeur Philippe DELEBECQUE  – dans un article publié par le Cercle des Juristes sur leur site web – rappelle les circonstances de cet incident grave (perte d’une issue de secours en vol survenue sur un Boeing 737 MAX de la compagnie Alaska Airlines). Il s’interroge notamment sur les diverses responsabilités éventuellement encourues, y compris celle, pour les passagers et l’équipage, d’un préjudice d’angoisse dont la présence effective – sur les plans opérationnel et technique – n’est guère contestable.

Crash évité du vol Alaska Airlines perte en vol d’une issue de secours